La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D’Evans (Épisode N°1471)

La jeunesse d’Edouard d’Evans - 1 ère période : Etudiant, Monsieur le Marquis avait 20 ans - (suite de l'épisode 1468) -

... Telles étaient mes pensées lorsque retentit la sonnette... Je me déplaçais aussi rapidement que possible, malgré mon anus rempli par le crochet-boule bien fixé, afin d'aller ouvrir la porte. Avec la boule au ventre (et au cul !), je saisis la poignée et ouvris la porte, m'effaçant dans le même mouvement afin de ne pas gêner l'entrée de la dame... Mais celle-ci s'immobilisa et bien que mes yeux soient rivés au sol, je sentis Son Regard se fixer sur ma petite créature nue que je suis et que la nouvelle arrivante observait non sans surprise. J'attendais, aussi effacé que possible, mais rien ne se passait... Quand, j’entendis avec soulagement les pas de Monsieur le Marquis d'Evans venir vers nous. Avec élégance et décontraction, il accueillit son Invitée avec le plus grand naturel et dans un charisme séducteur auquel peu de femmes devraient rester insensibles...

- Bienvenue très chère ! Quel bonheur de vous recevoir... Entrez, je vous en prie... J’espère que Mon esclave ne vous a pas trop surprise... J’ai pensé qu'il était souhaitable d'entrer directement dans le vif du sujet...
- Je... J’avoue que … c’est… c'est assez troublant, je dois le reconnaître", souffla la jeune femme dubitative.
- Allons ! Vous vous intéressez aux relations de Domination/soumission, m’avez-vous dit ! Alors n'attendons pas. Ceci est Mon esclave. Ou, pour être plus juste, l'un de Mes esclaves. Il est parfaitement dressé et est en charge de tous les aspects domestiques. Mais ne restons pas ainsi entre deux portes, je vous en prie, entrez, le salon nous attend...

Tandis qu'ils se rendaient au salon, je fermais la porte, puis promptement, regagnais la cuisine afin de préparer le service. Le Maître avait prévu une forme d'apéritif dinatoire. Le champagne, Son meilleur millésime favori, serait la seule boisson tandis que j'avais passé une partie de l'après-midi à cuisiner diverses mignardises au caviar, foie-gras, sushis et autres saveurs.

.. Alors que je revenais vers le salon avec le seau de glace et une première bouteille de champagne, je pus jeter un bref coup d'œil vers l'Invitée du Maître. Une très belle trentenaire, aux cheveux naturellement auburn. Elle avait tiré ses cheveux afin de former une tresse simple et rigide qui donnait toute sa luminosité à un visage d'une grande finesse avec un nez droit qui n'était pas sans rappeler celui de Kate Middleton. Elle affichait une élégance sobre et décontractée, un chemisier noir juste assez décolleté et une jupe crayon à imprimé Jacquard, bas noirs, escarpins noirs... Je posais le seau à glace sur la table basse et m'appliquais à débouchonner le champagne avec discrétion. La conversation entre Le Maître et la jolie voisine s'interrompît... La Voix du Châtelain monta d'un cran :

- Oh ! Serait-ce la présence de Mon esclave qui vous rend silencieuse ?
- Eh bien... c'est … un peu gênant de...
- Oh, Pardonnez-moi, mais je vous arrête tout de suite. Il n'y a aucune gêne à éprouver en sa présence. Il n'a pas plus de présence que cette table ou ce fauteuil. Vous ne devez voir en lui qu’un meuble, un ustensile, un simple objet... Ainsi que je vous le disais, un esclave n'est qu'un objet utilitaire. Rien d'autre…
- Tout de même, il est là... il entend… Et puis, sa dignité… et cette nudité... Je ne sais pas, c'est... euh...

Je venais d'ouvrir la bouteille et avais rempli deux coupes, j'en tendis une à la visiteuse, l'autre au Maître qui la saisit et me fit signe d'un revers de main et sans me regarder d'aller me mettre au coin… J'allais donc m'agenouiller dans un coin de la pièce et demeurer ainsi, immobile et silencieux. Mais rien ne m'échappait de la conversation…

- Voilà, vous voyez, il est rangé jusqu'à ce que je claque des doigts pour le faire revenir... Écoutez-moi bien, Aristote lui-même explique que c'est dès la naissance que certaines réalités apparaissent. Une réalité qui destine naturellement les uns (unes) au commandement et les autres à l'obéissance.
C'est pour le philosophe, une distinction qui relève d'une loi universelle de la Nature et s'applique à l'espèce humaine, comme au monde animal. Il est des créatures qui naissent esclaves et il est essentiel pour celles-ci de se soumettre à l'Autorité d'un Maître ou d'une Maîtresse naturellement Dominant (e)… L'esclave n'est qu'un objet animé dont il est juste et légitime que les Supérieurs usent comme bon Leur semble. Et de fait cet objet n’a plus de dignité, d’intimité, de pudeur, de honte…
- Tout de même... C’est un être humain que je vois là !…
- Un instant ! Que ce soit bien clair. Je condamne vivement et sans détour toute forme de contrainte et l'esclavage imposés par la violence, la brutalité, et la peur est chose ignoble. Je condamne, tout aussi fort, ce que j’appelle, la contrainte non consentie. Mais cet esclave est pleinement consentant. Conscient de sa nature la plus profonde, de ce besoin viscéral de se soumettre, il est heureux et reconnaissant d'être ici pour y être et vivre ce qu'il est Naturellement… C'est de son plein gré qu'il a renoncé à toute autonomie, qu'il a abdiqué toute forme de liberté, de pudeur ou de cette dignité que vous avez évoqué. Désormais, il M'appartient et j'ai tous les droits sur lui. C'est un choix concerté, il l'a vivement souhaité, espéré même plus que tout autre chose. Rien ne le rend plus épanoui que de vivre sa condition servile à Mes pieds… et c'est désormais accompli….
- Fascinant, parvint juste à prononcer la belle voisine, comme subjuguée. - Alors je bois à Votre statut de Maître
- Avec plaisir... mais aussi buvons à votre santé !

Le Maître claqua juste des doigts et je compris qu'il était temps d'aller chercher les premiers plateaux. Une fois à la cuisine, je revins et ramenais donc les mets délicieux que j'avais longuement préparés. Je mettais le plateau à portée de mains et remplissais à nouveau les coupes de champagne. Cette fois, la jeune femme demanda à que je reste à proximité.
Sur un geste du jeune Châtelain, je m'agenouillais donc à portée de main. Leur conversation se poursuivit ainsi. Et la belle voisine semblait oublier de plus en plus aisément la présence d'un esclave prosterné à quelques centimètres des semelles de ses escarpins. Elle avait 35 ans, évoluait dans le milieu de la finance au quartier de la Défense et se prénommait Chloé. Bonne éducation, HEC, et avait un certain intérêt un peu honteux pour les relations S/m qu'elle ne pouvait plus combler avec seulement la lecture d'Histoire d'O ou des BD de Manara. C’est cet intérêt qui fit comprendre au Noble, la présence ici de la jeune femme, venue afin de mieux comprendre ce monde de la D/s qui lui échappait encore... Elle était donc curieuse et même plus que cela. Le grand champagne millésimé aidant, elle se révélait de plus en plus, sous le regard amusé de Monsieur le Marquis d'Evans. Bien qu’Il soit plus jeune qu'elle, Lui savait... Mieux que cela, Il était un grand Maître initié, malgré ses 20 ans.

Monsieur Le Marquis était lui-même allé chercher une nouvelle bouteille de champagne, préférant me laisser sous le regard aussi curieux que sévère de la belle... La nouvelle bouteille était bien entamée et la conversation se poursuivait. Les questions de Chloé se faisaient de moins en moins timorées. Et la jeune femme semblait toujours plus détendue aidée par les vapeurs du champagne. Sur le conseil du Noble, elle étendit même les jambes, usant de mon dos courbé comme repose-pieds. Monsieur le Marquis d'Evans se faisait, pour sa part, toujours un peu plus provocant, glissant de fines allusions au détour de chaque phrase afin de sonder plus précisément l'état d'esprit de son Invitée dont les petits rires de moins en moins gênés, et de plus en plus excités, montraient qu'elle n'avait plus guère de retenue… En effet, lorsque Le Maître commença à lui caresser la nuque, elle ne fit que tendre le cou et se cambrer légèrement, faisant saillir sa généreuse poitrine. Le Maître poursuivait alors l'exploration vers les épaules, puis se permettant de défaire délicatement un premier bouton du chemisier, puis un autre.
.. Chloé n'opposait aucune résistance. Bien au contraire, elle se cambrait encore et voulut passer ses mains autour du cou du Maître. Mais, avec délicatesse, celui-Ci arrêta son geste et lui fit mettre les bras en arrière, lui susurrant à l'oreille qu'elle ne devait pas bouger, juste s'abandonner. Ce qu'elle fit avec une visible délectation. A l’évidence son bas-ventre excité ne restait pas insensible à la situation…

Le jeune Châtelain avait fini de défaire les boutons du chemisier et avait fait saillir deux seins aux belles proportions ronds et fermes du soutien-gorge. L'Invitée se contorsionnait doucement, non pour échapper à l'Emprise du Maître, mais au contraire pour s'offrir encore plus aisément à ses Investigations tout en gémissant doucement de plaisirs. Le Maître lui dit sans hausser le ton, de relever sa jupe, ce qu'elle commença à faire timidement. "Plus haut", dit alors Le Maître... " Plus haut...", "allons, j'ai dit plus haut..." … Chloé obéissait et releva la jupe jusque haut sur ses hanches, dévoilant ainsi toute son intimité et ses cuisses gainées de fine soie noire de bas auto-fixant.

- Quel dommage, lui glissa Le Maître, cela serait tellement plus élégant avec un vrai porte-jarretelle. J’espère que tu y penseras la prochaine fois, dit-il avec amusement
- Mmmhh oui... oui oui j'y penserai, dit-elle dans un souffle et sur un ton félin à séduire l’homme

Maintenant, Le Maître lui fit enlever son string de dentelle noire et lui conseilla de s'avancer vers le bord du canapé, s'appuyant sur le bas des reins et d'ouvrir le plus largement ses cuisses. Chloé n'était plus en état de discuter et en n’avait d’ailleurs pas envie. Alors, elle s'agita afin de se tenir dans la position dictée par Le Maître et n'eut aucun geste de recul lorsque Monsieur le Marquis d'Evans tira sur ma chaine afin de placer mon visage contre l'intimité déjà humide de la jeune femme, et m'ordonnant de la lécher... Je m'appliquai, recueillant déjà la cyprine sur ma langue. Je restai ainsi un moment assez long, sentant Chloé qui se contorsionnait un peu du bassin, mais dont les gestes étaient maintenant contrôlés par le Châtelain qui n'avait pas cessé de lui caresser les seins, de l'embrasser avec une infinie douceur... Finalement, Maître me repoussa et se releva, faisant face à Chloé affalée sur le canapé. Il se pencha vers elle, la saisit par l'épaisse tresse qui lui tombait dans le dos et la fit se retourner. La plaçant ainsi bien à quatre pattes sur le canapé. Le Noble se plaça derrière elle et lui prit la chatte trempée, en levrette, sans plus attendre. Il la tenait par la tresse comme une laisse de longs cheveux et la pilonnait avec régularité, tout en glissant son autre main entre les cuisses afin de stimuler le clitoris ainsi parfaitement accessible. Chloé n'avait plus aucune retenue. Elle gémissait, lâchait de petits cris... Réclamait "encore !" suppliait Le Maître de continuer encore et encore... Quant à moi, retourné au coin, je n'avais bien sûr qu'une version sonore mais je devinais chaque geste, chaque coup de boutoir, savourant encore le parfum de la cyprine de la belle Chloé sur mes lèvres...

Chloé poussa un cri rauque et déchirant... signifiant ainsi qu'elle venait d'atteindre l'orgasme... Mais le Noble continuait, Il la pénétrait encore et toujours plus fort, ses coups de reins devenaient d’une puissante inouïe, prenant ainsi possession profondément de son corps, mais aussi à n'en pas douter de son âme ! Elle n'était plus que gémissements de plaisirs, rauques jouissifs, cris orgasmiques... Jusqu'à ce que le Maître atteigne ce qu'Il voulait et se retire d'elle, d'un coup sec, la laissant haletante, le corps agité de tremblements, de spasmes d’une femelle en chaleur et incapable de changer de position, demeurant ainsi, les reins cambrés, la croupe offerte, le corps recouvert d'une fine pellicule de transpiration… Et j'imaginais sa bouche au rouge à lèvres défait, ses seins tremblotants... Le Maître claqua des doigts, me signifiant que je devais approcher et Il m'ordonna de Le sucer afin de nettoyer Sa Verge souillée de mouille... Chloé demeurait immobile, comme si elle avait été pétrifiée de se livrer ainsi avec tant d'impudeur à son tellement plus jeune Voisin et ne savait plus désormais, tremblante, suante, quelle attitude choisir... Le Maître choisit pour elle...

- Tu peux te rhabiller, lui dit-il d'un ton neutre, mais ferme.

Chloé bougea enfin, gardant la tête baissée... comme soudain consciente de l'impudeur de sa position, malgré un bas-ventre encore tout excité et ne demandant qu’une nouvelle copulation. Elle rabattit sa jupe, referma lentement son chemisier... le Maître poursuivait :

- Ce fut une agréable soirée, j'espère que tu as pu obtenir quelques réponses aux questions que tu te posais...
- Oui, remercia-t-elle. Je... euh... un peu... je découvre tellement de choses, mais c’est déjà … fabuleux.... tellement de choses, répètait-elle…
- Si peu en réalité. Mais c'est normal, tu n'en es qu'aux prémices. Je t'en montrerai plus si tu le désires. Mais le désires-tu vraiment ?
- Oh oui ! euh... elle tenta de se reprendre après ce oui "enthousiaste" trahissant son évidente sincérité. - Oui, je, je voudrai bien, si tu es d'accord…
- Tout à fait… Alors rentre chez toi maintenant, nous en reparlerons... Je te souhaite une douce nuit, et j'espère de délicieux souvenirs...
- Oui, oh oui si délicieux. Merci, à très vite alors... c’est fabuleux … oui fabuleux …
- Oui, je te recontacterai...

Ayant terminé de sucer le Vit viril du Maître, j'allai fermer la porte derrière Chloé, partie sans se retourner... Le Maître apporta la conclusion de cette soirée :

- Agréable. Du charme, du style... une très jolie personne et un bon tempérament qui ne demande qu'à s'exprimer enfin ! Elle m'a bien diverti et je ne doute pas qu’elle a eu du plaisir sous mes coups de reins... Mais je m'interroge encore sur son réel potentiel. Sans doute en ferais-je une soumise dévouée à Mes Plaisirs... mais pas une esclave, je ne pense pas. Chloé n'a pas en elle cette nature servile, cette conscience d'infériorité qui, toi, t'habite tout entier, me dit-il. Oui, elle me sera soumise, mais je lui montrerai aussi comment user des esclaves. Je suis sûr de trouver en elle quelques traces de désir Dominant. Sans doute pourras-tu me servir à la révéler plus et mieux. Nous n'en avons pas fini avec cette charmante et belle Chloé...

Et Le Maître m'enferma dans la cage, avant que de rejoindre Son confortable lit... La soirée était terminée…

(A suivre …)

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